Programme Jidar 2023

Elisa Capdevila

Espagne

Sebas Velasco

Espagne

Meriam Benkirane

Maroc

MED

Maroc

Machima

Maroc

Miel

Pays-Bas

Telmo

Pays-Bas

Alegria del Prado

Mexique

Franco Fasoli Jaz

Argentine

LES PERFORMANCES MURALES

Depuis sa création en 2015, Jidar-Rabat Street Art Festival a paré la capitale d’une centaine de fresques réalisées par des artistes du monde entier. Autant d’écrans sur lesquels se projettent les imaginaires et les horizons les plus lointains. Cette année encore, 9 artistes issus de 5 pays connecteront leur univers à la culture marocaine et à l’environnement qui les entoure, conformément à l’esprit de partage qui anime le festival depuis sa création.

Dirigé par

Dynam

À partir du 22 au 28 mai 2023

Temps fort de Jidar-Rabat Street Art Festival, le mur collectif est le lieu où se forme la relève. Chaque année, cet incubateur de talents réunit une douzaine de jeunes autour d’un projet de fresque encadré par un artiste confirmé. Amateurs ou étudiants en école d’art, ils ont une semaine pour expérimenter différentes techniques et partager leurs idées, sans pression de résultat. Ce qui compte ici, c’est le processus, basé sur l’échange et la transmission. Pour cette 8 e édition, le muraliste marocain Dynam propose aux graines de street artistes de créer « une œuvre harmonieuse » à partir d’un nuancier de couleurs restreint. « Nous pouvons travailler en monochrome en intégrant la texture, la lumière et l’ombre… », suggère l’artiste qui préfère laisser le choix du thème aux participants.

 

Pour cette 8e édition, le muraliste marocain Dynam propose aux graines de street artistes de créer « une œuvre harmonieuse » à partir d’un nuancier de couleurs restreint. « Nous pouvons travailler en monochrome en intégrant la texture, la lumière et l’ombre… », suggère l’artiste qui préfère laisser le choix du thème aux participants.

 

Avenue Al Massira, Souk Al Amal 2, Rabat


Dynam (Maroc)

Peuplées de gens du quotidien, absorbés dans leurs pensées, les fresques de Dynam frappent par leur réalisme et une palette de couleurs inhabituelle. L’autre constante, c’est le motif de l’ours en peluche en clin d’œil au monde de l’enfance. Né en 1995, Dynam fait ses premiers murs pendant ses études aux Beaux-Arts de Casablanca, où il met au point sa technique pour imiter la déchirure du papier, comme les lambeaux d’une affiche publicitaire. Il s’en servira dans l’immense fresque qu’il réalise en 2017 pour le festival Casa Mouja : une scène du film Casablanca qui donne le coup d’envoi à sa carrière. Dynam prépare actuellement un master option peinture à l’École supérieure des arts au carré à Mons (Belgique).

 

Instagram : @dynamart

Salle de conférences du Musée Mohammed VI d’art contemporain (MMVI)

Yassine Balbzioui
Reda Boudina
Ice Screen

Célébrer le street art, c’est aussi réfléchir à la spécificité de cet art qui possède ses propres codes et références. Observer comment il interagit avec les autres disciplines et comment il peut représenter un modèle économique viable : ces deux questions seront au centre des discussions entre les artistes et le public.

 

Horaire : de 19h à 21h 

 

– 25 mai : De quelle façon le street art interagit-il avec l’art contemporain ? Réponse avec les artistes Yassine Balbzioui et Reda Boudina qui ont tous les deux participé à Jidar, respectivement en 2021 et 2022.

 

– 26 mai : Ice Screen est un collectif d’artistes pratiquant la sérigraphie de façon artisanale dans leur atelier de Bruxelles mais aussi de façon mobile lors d’événements culturels, comme à Jidar. Ils expliqueront l’intérêt de cette technique pour les street artistes.

Atelier et exposition

Résidence du collectif Goma

Du 18 au 28 Mai 2023

Comment assurer un revenu pérenne à des artistes de l’éphémère ? C’est tout le paradoxe qui sous-tend la réflexion sur le modèle économique du street art. Parmi les possibles débouchés, la sérigraphie offre une alternative viable aux muralistes qui peinent à trouver une place sur le marché de l’art contemporain où les codes et les références diffèrent. En permettant aux artistes d’imprimer et commercialiser leur travail sur divers supports, la sérigraphie leur permet de vivre de leur art. C’est pourquoi Jidar l’a intégrée en 2022 dans sa programmation. Cette année, deux ateliers et une résidence seront animés par les collectifs belge Ice Screen et marocain Goma.

Résidence du collectif Goma

Formé pendant la 6e édition de Jidar, le collectif Goma réunit certains des artistes ayant participé au mur collectif encadré par Yassine Balbzioui. Huit d’entre eux reviennent cette année en résidence pour concevoir un projet collaboratif avec l’atelier de sérigraphie artisanale Ice Screen, venu de Bruxelles pour l’occasion.

 

Du 18 au 21 mai à l’Atelier Ambigu

Sortie de résidence

Les travaux réalisés pendant la résidence seront présentés à l’Atelier ambigu, sous une forme que l’on ignore encore. Affiches, magazines, œuvres textiles… la sérigraphie offre plusieurs possibilités !

 

Le 23 mai à l’Atelier Ambigu

Ateliers de sérigraphie :

Ice Screen animera un atelier pour les artistes du mur collectif le 24 mai et un autre destiné au grand public le 25 mai (inscription sur www.jidar.ma).

 

Les 24 et 25 mai à l’Atelier Ambigu

Partenaires

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